The Australian Border Force (ABF) has successfully detected and interdicted 14 foreign fishing vessels, with a total of 112 crew onboard, in northern Australian waters.Operations were conducted between November 14 and 18, and the interdictions…
Nous dédions à nos clients une écoute permanente, un service de qualité et une prise en charge sur-mesure de leurs demandes.
Notre expertise est le fruit de notre héritage et de notre expérience ainsi que du professionnalisme de nos collaborateurs.
Elle est attestée par des organismes de premier ordre et par notre adhésion à des associations professionnelles de renom.
Nos certifications garantissent votre confiance.
Votre satisfaction est aussi la nôtre.
The Australian Border Force (ABF) has successfully detected and interdicted 14 foreign fishing vessels, with a total of 112 crew onboard, in northern Australian waters.Operations were conducted between November 14 and 18, and the interdictions…
The New Zealand Government’s plan to repeal its ban on live export by sea has been pushed back. In a statement, the Minister championing the restart of the trade, Andrew Hoggard, himself a farmer who has never exported his animals, confirmed…
Worms Services Maritimes, société par actions simplifiée au capital de 934.058 euros, présidée par Alexandre Cour, est présente en France et à l’étranger (Algérie, Égypte, Maroc et Tunisie) via un large réseau d’agences et de filiales.
Worms Services Maritimes exerce principalement les métiers d’agent maritime de lignes régulières et de consignataire au tramping de tous types de navires et de marchandises.
En complément, le Groupe propose son expertise dans un large éventail d’activités connexes (commission de transport, logistique, représentation douanière, entreposage sous douane...).
Un réseau ancré dans les ports de France et de Méditerranée
Une expertise alliée à une maîtrise logistique
Une disponibilité
24 heures sur 24
365 jours par an
Propriété d'un descendant du fondateur, Worms Services Maritimes rapporte son origine aux « affaires de navigation » dans lesquelles la Maison Worms s’est engagée à la fin des années 1840.
Hypolite Worms (1801-1877), fondateur de la Maison qui porte son nom, se lance dans le commerce international de charbon anglais. Afin d'affréter les navires pour transporter le minerai hors du Royaume-Uni et éviter qu'ils ne reviennent à vide, les succursales en France et en Grande-Bretagne sont appelées à développer une activité d’agent maritime.
Hypolite Worms, pour ne plus être dépendant des armateurs, décide de créer sa propre flotte. La première unité baptisée "Séphora", du prénom de son épouse, est acquise en 1856. Avec l'entrée en service du "Sauternes" en 1900, il devient d’usage de donner aux navires les noms des grands crus du Bordelais ; les cargos dédiés au transport des charges lourdes sont baptisés du nom des villes de Normandie. Le dernier caboteur Worms est vendu en 1968.
Par l'ouverture des lignes Bordeaux-Le Havre-Hambourg (1859) et Bordeaux-Anvers (1869), la Maison Worms axe son réseau de cabotage sur les liaisons entre la France et l'Europe du Nord.
Grâce à l'approvisionnement des stations de charbonnage des compagnies maritimes partout dans le monde, les plus grands armateurs européens rejoignent la clientèle des services maritimes Worms.
Active en Égypte dès 1851, la Maison Worms livre le charbon nécessaire au fonctionnement des excavatrices à vapeur utilisées par l'entreprise en charge du creusement du canal de Suez. En juillet 1869, quatre mois avant l'inauguration de cette nouvelle « voie d'eau », elle crée des succursales à Port-Saïd et à Suez qui avitaillent les navires en carburant et apporte aux armateurs toute la gamme des services maritimes.
Par l'entremise de la société de navigation Schiaffino, Worms & Cie ouvre une succursale à Alger, où elle approvisionne en charbon de soute les bâtiments de la Marine française. La Maison entretiendra des liens étroits avec cette compagnie jusqu'à sa disparition dans les années 1990 : elle construisit plusieurs de ses navires dans le chantier naval qu'elle a créé et dirigé en Normandie, près de Rouen, entre 1917 et 1966 (Ateliers et Chantiers de la Seine-Maritime - ACSM).
Entre 1929 et 1934, Worms & Cie remet à flot la Compagnie havraise péninsulaire qui devient, sous l’acronyme Nochap ou NCHP, l'une de ses filiales et dont la gestion est assurée de conserve avec les services maritimes Worms jusqu'à sa cession en 1986. Durant l'Entre-deux-guerres, la Maison Worms donne naissance à la Société française de transports pétroliers – SFTP, qui sera cédée à la Compagnie maritime belge avec l'ensemble du groupe armatorial en 1997.
Après la Seconde Guerre mondiale, Worms & Cie redéploie ses lignes maritimes vers les ports d’Algérie, du Maroc et de Tunisie. Une agence est ouverte à Casablanca en 1946. De nouveaux navires sont affectés à ce trafic tandis que la desserte des ports nord-européens est confiée à des navires affrétés. Mais les mouvements de décolonisation ainsi que la concurrence du rail et de la route conduisent au démantèlement du réseau de cabotage à la fin des années 1960.
Suite à la nationalisation du canal de Suez (1956), à l'accession à l'indépendance de la Tunisie (1957) et de l'Algérie (1962), Worms & Cie développe progressivement un partenariat avec des confrères égyptiens, chérifiens et algériens. En Algérie, toutefois, le monopole d’État institué sur les transports maritimes par la constitution de 1976 incite la Maison à se retirer jusqu’en 1998, date à laquelle les pouvoirs publics ouvrent à nouveau ce secteur aux entreprises privées.
La direction générale des services maritimes est constituée en une société indépendante sous le nom de Worms Services Maritimes. Grâce à son organisation, à son réseau établi dans la plupart des ports de France et de Méditerranée orientale, à son potentiel commercial et à son personnel hautement qualifié, Worms Services maritimes seconde les armateurs et répond à tous les problèmes de transports des importateurs et des exportateurs.
De nos jours, Worms Services Maritimes est très actif en France et dans de nombreux pays méditerranéens.
→ Pour en savoir plus sur l’histoire de la Maison Worms : www.wormsetcie.com.
“La qualité de notre service est le principal vecteur, pour le présent comme pour l’avenir, de notre compétitivité et de notre développement”
Nicolas Barnaud
La réputation de Worms Services Maritimes pour son efficacité dans la gestion de l’ensemble de ses activités et pour le professionnalisme de son personnel est largement reconnue.
Notre démarche vise à fournir à nos clients un service de la plus haute qualité afin de satisfaire, voire dépasser, leurs exigences tout en nous efforçant de devancer les imprévus.
Pour atteindre ce but, nous nous sommes engagés à :
Depuis le 17 janvier 2012, Worms Services Maritimes est détenteur de l’autorisation combinée d’"Authorised Economic Operator" – simplifications douanières + sécurité et sûreté ("AEO-F" - autorisation n° FR00000925). La qualification "AEO-F" accordée à la société assure l’efficacité de procédures simplifiées, offre des facilités de contrôle en matière de sûreté et de sécurité comme elle garantit sa solvabilité financière.
L’organisation internationale Fonasba (Federation of National Associations of Ship Brokers and Agents) a décerné, le 8 septembre 2016, un certificat de conformité à sa norme de qualité à Worms Services Maritimes.
Cette norme spécifique aux agents et courtiers de navires, atteste l’aptitude de l’entreprise à fournir en permanence des services qui répondent aux attentes des clients tout en satisfaisant les exigences réglementaires applicables.
En tant que membre d’associations professionnelles de renom : AMCF (Fédération des agents maritimes et consignataires de France) et CMF (Cluster maritime français), Worms Services Maritimes apporte à ses clients la garantie d’une actualisation constante de ses procédures et de leur conformité à la réglementation qu’elle soit française, européenne ou mondiale.
Worms Services Maritimes est affilié à l’Itic (International Transport Intermediaries Club), leader mondial de l’assurance en responsabilité civile professionnelle dans le secteur des transports, pour couvrir les risques inhérents aux missions que la société exerce, missions souvent complexes, toujours critiques et invariablement sujettes à de hauts degrés de vulnérabilité et de responsabilité.